Le MMA s’écrit au féminin

Le MMA s’écrit au féminin

C’est le retour d’Anthropoline ! Retour qui s’est d’abord fait sur instagram, si tu n’es pas abonné, va vite voir ! @anthropoline

Un comeback et surtout un nouveau terrain ! La pandémie aura eu raison de ce projet en Inde, mais il aura ouvert la possibilité d’un nouveau mémoire…. sur les Mixed Martial Arts (MMA). A mille lieux, littéralement, de mon premier projet de mémoire. Je te propose dans les prochains articles d’embarquer avec moi vers ce monde d’artistes, de sportifs, de combattants, de stratèges…

Pour ne pas te laisser sur ta faim, voici quelques premières indications. Je me place dans une anthropologie du sport et j’étudie la notion de violence et de combat au sein de ce sport. On peut l’aborder selon trois axes : la relation entre le public/les médias et la pratique interne du MMA ; la sportivisation du MMA ; et la notion de genre, notamment féminin. Ce dernier axe est inhérent à mon statut de femme sur le terrain, mais je n’ai pas choisi de faire une étude féministe ou une étude centrée sur le genre.

Cette année Anthropoline franchit un nouveau cap, il ne s’agit plus seulement de publier des articles autour du monde anthropologique, mais d’être un laboratoire de recherche en ligne. A ce titre, tu pourras remplir des questionnaires et autres outils de recherche tout au long de l’année. Partage à qui serait concerné !!

Le premier questionnaire est déjà disponible ici : Le MMA s’écrit au féminin ! ATTENTION ! Il est à destination de femmes qui pratiquent le MMA, quel que soit leur niveau, leur expérience, leur temps de pratique ou leur investissement.

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